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Quand on voit des virus dans les craques du trottoir

ledevoir.com | Depuis le début du confinement, la vie de Martine Denis vacille. Elle souffre de schizophrénie affective. « Ç’a été vraiment difficile [à un moment donné], dit-elle. Je me suis mise à paranoïer. J’avais peur d’attraper le virus ou de le donner à ma famille. » Elle a lavé de fond en comble son 1 ½, où elle habite seule avec ses deux chats. « J’ai eu peur que tout bascule, raconte-t-elle. Ça faisait une bonne année que j’étais correcte. » [ Lire la suite ]

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